Profitez du printemps pour réaliser vos projets, faire un bilan professionnel ou tout simplement apprenez à mieux vous connaître...
Du 23 mars au 30 mars, une séance de coaching découverte offerte !!
Nombre de places : 5
Conditions : répondre et prendre rdv rapidement avant le 30 mars - ne pas être déjà client
Lieu : Cabinet de coaching et thérapie, 14 rue de Metz, 57160 Moulins-lès-Metz(uniquement sur rdv)
Belle journée à vous
Marjorie Goujon
06 40 24 34 68
vendredi 23 mars 2012
lundi 6 juin 2011
Zoom sur les ateliers d efficacité personnelle
Apéritif découverte le vendredi 17 juin
de 18h30 à 20h30,
Ermitage Saint Jean, 7 rue des moulins, 57160 Moulins les Metz.
Venez avec vos amis et vos enfants !
Contacts & Renseignements :
Aurélie Huet 07 70 01 81 97
Marjorie Goujon 06 40 4 34 68
Merci de confirmer votre présence
http://atelieretsimoiaussi.blogspot.com/
mercredi 1 juin 2011
les phases de la vie
Les cycles de vie dure entre 8 et 12 ans environ. On peut alors réfléchir en tranches de vie de 10 ans, soit une décennie, et mettre en exergue les particularités de chacune et leurs tâches de développement respectives.
Les transitions de 20 à 90 ans :
-20 à 30 ans : Bienvenue dans le monde des adultes. A cet âge , on "démarre", on commence à vivre dans le monde adulte,même si on ne considère pas encore pleinement comme tel. En fait, on se découvre assez souvent en train de jouer à l'adulte à cette époque de la vie, et cette insouciance aura tendance à disparaître dans la décennie qui suit.
-30 à 40 ans : La décennie de la dernière chance. Voici le moment de se prendre très au sérieux, de démontrer qu'on es réellement entré dans la cour des grands. La tâche de développement imparti à cet âge est "d' arriver"; sans qu'on sache très bien comment mesurer la réussite, il est clair qu'il faut réussir, et, qui plus est, selon les normes des autres. A cet âge, on a besoin d'un coach pour prendre du recul et trier les obligations qu'on s'est données.
-40 à 50 ans: Devenir responsable. "mais je suis responsable..", disent la plupart des adultes de cet âge, ce qui souligne justement l'importance de cette transition du mitan de la vie. En fait, devenir responsable n'est pas chose facile : il faut accepter d'abandonner des responsabilités fictives, factices et fausses, prendre le temps de regarder la réalité en face et remarquer qu'on est responsable de soi, de sa vie, et pas de tout le monde, tout le temps, partout, toujours. Cette négociation d'une nouvelle identité, bien que pas toujours facile, est une étape nécessaire vers l'autonomie.
-50 à 60 ans : apprécier la qualité de la vie. Voici enfin arrivée la phase de la vie décrite comme la plus agréable. Si tout va bien dans le domaine professionnel, la cinquantaine représente généralement une période de stabilité et de prospérité où on peut apprendre à apprécier et profiter de la vie sans complexes, complaisance, ni excuse.
-60 à 70 ans : réussir la retraire, réaliser un nouveau départ. Le départ à la retraite, n'est pas qu'un départ de son lieu de travail; c'est aussi, et peut être avant tout, une invitation à accepter une nouvelle organisation de vie. Combien d'entre nous avons besoin d'apprendre à planifier le temps autrement, sans obligations de résultats ? "renoncer ou repartir" est le slogan de cette tranche de vie. Le choix est simple : ou on renonce à vivre pleinement sa vie, ou on choisit de repartir vers une nouvelle organisation de vie et de réalisation de soi.
-70 à 80 ans : vivre la sagesse, promouvoir le rôle de mentor, cueillir pleinement les bienfaits de la vie. Cette phase de la vie adulte nous invite à rester actif dans la réalisation de nos projets, en découvrant le rôle d'"Ancien". En effet, ce rôle de mentor, de sage, d'enseignant ou de guide informel se propose facilement à des personnes de cet âge qui savent et acceptent de vivre dans la sagesse, le partage et le recueil des bienfaits de la vie.
-8à à 90 ans : rester engagé, simplifier la vie. Voici un âge avancé ou les soucis de santé prennent parfois le pas sur le reste. Néanmoins, cette phase, cette étape de croissance, nous invite et nous encourage à rester engagé, à ne pas abandonner la quête, le désir, la recherche, tout en allant au plus simple, à l'essentiel.
-90 ans et plus : faire preuve d'authenticité et de générosité. Vivre jusqu'à mourir.
La dernière tâche de toute la vie est celle de mourir dignement, mais seulement le moment venu de quitter ce monde. Auparavant, faire preuve d'authenticité et de générosité encourage les membres des générations montantes à trouver leurs marques, faire leurs choix et à vivre leurs vies.
Extrait de "Dictionnaire des coachings" (Dunod)
Les transitions de 20 à 90 ans :
-20 à 30 ans : Bienvenue dans le monde des adultes. A cet âge , on "démarre", on commence à vivre dans le monde adulte,même si on ne considère pas encore pleinement comme tel. En fait, on se découvre assez souvent en train de jouer à l'adulte à cette époque de la vie, et cette insouciance aura tendance à disparaître dans la décennie qui suit.
-30 à 40 ans : La décennie de la dernière chance. Voici le moment de se prendre très au sérieux, de démontrer qu'on es réellement entré dans la cour des grands. La tâche de développement imparti à cet âge est "d' arriver"; sans qu'on sache très bien comment mesurer la réussite, il est clair qu'il faut réussir, et, qui plus est, selon les normes des autres. A cet âge, on a besoin d'un coach pour prendre du recul et trier les obligations qu'on s'est données.
-40 à 50 ans: Devenir responsable. "mais je suis responsable..", disent la plupart des adultes de cet âge, ce qui souligne justement l'importance de cette transition du mitan de la vie. En fait, devenir responsable n'est pas chose facile : il faut accepter d'abandonner des responsabilités fictives, factices et fausses, prendre le temps de regarder la réalité en face et remarquer qu'on est responsable de soi, de sa vie, et pas de tout le monde, tout le temps, partout, toujours. Cette négociation d'une nouvelle identité, bien que pas toujours facile, est une étape nécessaire vers l'autonomie.
-50 à 60 ans : apprécier la qualité de la vie. Voici enfin arrivée la phase de la vie décrite comme la plus agréable. Si tout va bien dans le domaine professionnel, la cinquantaine représente généralement une période de stabilité et de prospérité où on peut apprendre à apprécier et profiter de la vie sans complexes, complaisance, ni excuse.
-60 à 70 ans : réussir la retraire, réaliser un nouveau départ. Le départ à la retraite, n'est pas qu'un départ de son lieu de travail; c'est aussi, et peut être avant tout, une invitation à accepter une nouvelle organisation de vie. Combien d'entre nous avons besoin d'apprendre à planifier le temps autrement, sans obligations de résultats ? "renoncer ou repartir" est le slogan de cette tranche de vie. Le choix est simple : ou on renonce à vivre pleinement sa vie, ou on choisit de repartir vers une nouvelle organisation de vie et de réalisation de soi.
-70 à 80 ans : vivre la sagesse, promouvoir le rôle de mentor, cueillir pleinement les bienfaits de la vie. Cette phase de la vie adulte nous invite à rester actif dans la réalisation de nos projets, en découvrant le rôle d'"Ancien". En effet, ce rôle de mentor, de sage, d'enseignant ou de guide informel se propose facilement à des personnes de cet âge qui savent et acceptent de vivre dans la sagesse, le partage et le recueil des bienfaits de la vie.
-8à à 90 ans : rester engagé, simplifier la vie. Voici un âge avancé ou les soucis de santé prennent parfois le pas sur le reste. Néanmoins, cette phase, cette étape de croissance, nous invite et nous encourage à rester engagé, à ne pas abandonner la quête, le désir, la recherche, tout en allant au plus simple, à l'essentiel.
-90 ans et plus : faire preuve d'authenticité et de générosité. Vivre jusqu'à mourir.
La dernière tâche de toute la vie est celle de mourir dignement, mais seulement le moment venu de quitter ce monde. Auparavant, faire preuve d'authenticité et de générosité encourage les membres des générations montantes à trouver leurs marques, faire leurs choix et à vivre leurs vies.
Extrait de "Dictionnaire des coachings" (Dunod)
lundi 11 avril 2011
Etre coach cela ne s'improvise pas !
Le mot est devenu tendance, coach déco, love coach, coach relooking…tellement de coaches que le client peut s’y perdre.
Polémique autour du métier ou plutôt de la formation….comme toutes professions non réglementées, on trouve de vrais coaches, des personnes qui pratiquent du conseil et qui utilisent le mot « coach » , des charlatans…
Pourtant, être coach ne s’improvise pas.
Polémique autour de la formation pour être coach, certains « anciens coaches » dénoncent les écoles, certains s’installent sans avoir suivi aucune formation, d’autres confondent conseil et coaching ou thérapie et coaching.
Dans un pays comme la France, qui ne jure que par LES diplômes, je suis étonnée !
Qui accepterez de se faire coiffer par un coiffeur sans formation (pas que je compare ces deux métiers), de se faire soigner par un médecin sans formation ? de mettre ses enfants dans une école ou les maitresses n’ont pas été formées ?
Pour certaines pratiques la formation et le diplôme paraissent indispensables, pour d’autres comme le coaching les gens ne se posent pas la question. Pourtant même si le coaching n’est pas une thérapie, il arrive de travailler sur des choses intimes, très intimes….et les possibilités de « manipulations » sont grandes, parfois même (au moins pire) de façons inconscientes.
Oui, je pense que comme pour beaucoup de métier, certaines personnes ont des prédispositions et d’autres pas du tout, que l’on peut presque parler de « vocation », car ce métier demande des qualités humaines.
Oui, la formation n’assure pas la qualité du coach, de plus quelle formation ? au vue du grand nombre d’école qui poussent un peu partout pour former des coaches.
Oui, on apprend toujours et encore, par la pratique, par la lecture, car il y a une part importante d’auto-formation et c’est là que l’école (ou le formateur) est important, c’est un guide, un garde fou.
Prenez n’importe quel ouvrage de psychologie ou philosophie, il y a autant d’interprétations possibles que de lecteurs…nous le savons bien.
Alors que cela soit une formation par une école ou un seul formateur, l’important est d’avoir non seulement un guide, pour l’apprentissage mais aussi la pratique, mais aussi et surtout un garde fou (superviseur), afin d’éviter de tomber dans l’attrait de la « toute puissance du coach » car en coaching les notions de transfert et contre transfert existent !
La certification ne garantit pas la qualité ni du coach ni de la formation, mais certifie déjà qu’il y a eu formation, c’est déjà un premier pas.
Pourquoi tant de polémiques ? Certains coaches «(non formés, improvisés) se sentent ils en danger ? Je pense que le tri se fera, et peut être un jour une réglementation, peut être…
Ce qui est important à mon sens c’est du prendre du recul, sur sa formation, sa pratique, d’avoir un guide et un garde fou (superviseur, charte éthique et déontologique), d’échanger avec d’autres coaches.
La posture de coach ne s’improvise pas, elle s’apprend, nous ne sommes pas là pour conseiller mais bien pour accompagner, en toute bienveillance, notre objectif étant celui de notre coaché.
Être Coach est un métier, accepter de ne pas savoir, d’écouter, de s’effacer, de douter ….
Décidément être coach ne s’improvise pas, si vous souhaitez faire appel à un coach, vérifiez certains points avant de vous engager !
Polémique autour du métier ou plutôt de la formation….comme toutes professions non réglementées, on trouve de vrais coaches, des personnes qui pratiquent du conseil et qui utilisent le mot « coach » , des charlatans…
Pourtant, être coach ne s’improvise pas.
Polémique autour de la formation pour être coach, certains « anciens coaches » dénoncent les écoles, certains s’installent sans avoir suivi aucune formation, d’autres confondent conseil et coaching ou thérapie et coaching.
Dans un pays comme la France, qui ne jure que par LES diplômes, je suis étonnée !
Qui accepterez de se faire coiffer par un coiffeur sans formation (pas que je compare ces deux métiers), de se faire soigner par un médecin sans formation ? de mettre ses enfants dans une école ou les maitresses n’ont pas été formées ?
Pour certaines pratiques la formation et le diplôme paraissent indispensables, pour d’autres comme le coaching les gens ne se posent pas la question. Pourtant même si le coaching n’est pas une thérapie, il arrive de travailler sur des choses intimes, très intimes….et les possibilités de « manipulations » sont grandes, parfois même (au moins pire) de façons inconscientes.
Oui, je pense que comme pour beaucoup de métier, certaines personnes ont des prédispositions et d’autres pas du tout, que l’on peut presque parler de « vocation », car ce métier demande des qualités humaines.
Oui, la formation n’assure pas la qualité du coach, de plus quelle formation ? au vue du grand nombre d’école qui poussent un peu partout pour former des coaches.
Oui, on apprend toujours et encore, par la pratique, par la lecture, car il y a une part importante d’auto-formation et c’est là que l’école (ou le formateur) est important, c’est un guide, un garde fou.
Prenez n’importe quel ouvrage de psychologie ou philosophie, il y a autant d’interprétations possibles que de lecteurs…nous le savons bien.
Alors que cela soit une formation par une école ou un seul formateur, l’important est d’avoir non seulement un guide, pour l’apprentissage mais aussi la pratique, mais aussi et surtout un garde fou (superviseur), afin d’éviter de tomber dans l’attrait de la « toute puissance du coach » car en coaching les notions de transfert et contre transfert existent !
La certification ne garantit pas la qualité ni du coach ni de la formation, mais certifie déjà qu’il y a eu formation, c’est déjà un premier pas.
Pourquoi tant de polémiques ? Certains coaches «(non formés, improvisés) se sentent ils en danger ? Je pense que le tri se fera, et peut être un jour une réglementation, peut être…
Ce qui est important à mon sens c’est du prendre du recul, sur sa formation, sa pratique, d’avoir un guide et un garde fou (superviseur, charte éthique et déontologique), d’échanger avec d’autres coaches.
La posture de coach ne s’improvise pas, elle s’apprend, nous ne sommes pas là pour conseiller mais bien pour accompagner, en toute bienveillance, notre objectif étant celui de notre coaché.
Être Coach est un métier, accepter de ne pas savoir, d’écouter, de s’effacer, de douter ….
Décidément être coach ne s’improvise pas, si vous souhaitez faire appel à un coach, vérifiez certains points avant de vous engager !
vendredi 18 février 2011
Nouveauté : Les ateliers Apéro Dînatoire
Des ateliers sous forme d'apéro, pour une ambiance conviviale.
S'informer, se former, se connaitre...échanger et trouver des solutions personnalisées.
Détails et inscriptions sur demande :
http://www.aael-conseilcoaching.fr/Accueil/Actualites.html
mardi 4 janvier 2011
Vous souhaitez ?
Développer votre potentiel,
Apporter du changement dans votre vie,
Gérer une situation difficile,
Prendre une décision,
Retrouver un bien être,
Développer confiance et estime de soi,
lundi 3 janvier 2011
Coaching ? coach de quoi ? comment ???
"Coach déco, coach relooking, love coach"....
"NON il ne s'agit pas de cela",
"mais tu es coach de quoi alors ?"
Pour répondre à cette question qui m'est si (trop) souvent posée, voici un blog qui reprend les grandes lignes du coaching professionnel.
Origine, finalités, modalités pratiques, et bien sur Ethique et Déontologie !
Vous y trouverez aussi les questions qui me sont le plus posées (et leurs réponses), n'hésitez pas à publiez vos commentaires ou questions dans les zones réservées à cet effet.
Bonne lecture
En toute bienveillance
Marjorie Goujon
Votre Coach Professionnel en Lorraine
"NON il ne s'agit pas de cela",
"mais tu es coach de quoi alors ?"
Pour répondre à cette question qui m'est si (trop) souvent posée, voici un blog qui reprend les grandes lignes du coaching professionnel.
Origine, finalités, modalités pratiques, et bien sur Ethique et Déontologie !
Vous y trouverez aussi les questions qui me sont le plus posées (et leurs réponses), n'hésitez pas à publiez vos commentaires ou questions dans les zones réservées à cet effet.
Bonne lecture
En toute bienveillance
Marjorie Goujon
Votre Coach Professionnel en Lorraine
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